Il s’avère que chez certain·e·s, les preuves d’amour n’ont pas de limite. C’est le cas pour Mark Zuckerberg, PDG de Meta, qui a commandé une sculpture à l’effigie de sa femme Priscilla Chan pour l’installer… dans son jardin. Choix surprenant de la part de l’homme d’affaires états-unien qui prend le risque de vexer sa femme si l’œuvre n’est pas assez “réussie”. En tout cas, on peut dire que Mark a enfin changé de “statue” (vous l’avez ?).
Publicité
Le créateur de Facebook a choisi l’artiste Daniel Arsham pour ériger le portrait de sa dulcinée. Le sculpteur travaille ses œuvres à la manière de sculptures romaines en leur apportant une touche de modernité. Le passé semble entrer en collision avec le futur, ce qui donne un aspect unique à ses sculptures. “Il crée et cristallise des espaces ou des situations ambiguës et met en scène ce qu’il appelle des reliques futures du présent. Il s’agit de moulages érodés d’artefacts modernes et de figures humaines contemporaines, qu’il réalise avec brio à partir de matériaux géologiques tels que le sable, la sélénite ou la cendre volcanique, pour leur donner l’impression qu’ils viennent d’être déterrés après avoir été enterrés pendant des siècles”, soulève la Galerie Perrotin.
Publicité
La sculpture représente Priscilla Chan dans un vêtement souple similaire à des ailes d’ange. De quoi flatter l’ego de Priscilla Chan. Mark Zuckerberg l’écrit d’ailleurs sur son compte Instagram : “Ramener la tradition romaine de faire des sculptures à l’effigie de votre femme”. L’idée de faire cette sculpture n’était donc pas récente, comme le déclare Mark Zuckerberg selon le New York Post : “J’ai plaisanté sur le fait de faire une sculpture d’elle pendant des années et lorsque l’opportunité de travailler avec Arsham s’est présentée, je l’ai finalement faite !”. Nous aussi, on veut bien des blagues qui se réalisent à plusieurs millions d’euros.
Publicité
Selon le Roman Empire Times, “pour mieux comprendre les motivations de Zuckerberg pour confectionner ce cadeau pour Priscilla, il faut remonter à la Rome antique, où la pratique de la commande de sculptures était intimement liée au tissu social et politique de la société. Ces sculptures étaient bien plus que de simples expressions artistiques : elles étaient de puissants symboles de statut, de vertu et d’honneur familial”. Le symbole de ce cadeau ne serait donc pas seulement pour faire plaisir à sa femme et l’admirer tous les jours, mais plutôt un symbole de puissance. Mark Zuckerberg a donc fait fort, comme le dit un commentaire Instagram sous son post : “Partout, les maris tremblent”.