Avec Modern European, Night Works a décidé de mettre le paquet côté images : il en ressort un premier clip carrément (ou faussement ?) cliché.
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Que signifie être hipster dans l’industrie musicale au 1er octobre 2012 ? Tout d’abord, avoir un nom de groupe mystérieux : ici, Night Works. Ensuite, avoir été membre d’une formation aujourd’hui à la pointe de la hype : dans Night Works, il y a Gabriel Stebbing, un ex de Metronomy qui s’est barré en 2010 pour son projet Your Twenties. Enfin, réalisez une vidéo à Paris et multipliez les clichés autant à l’image qu’au sein de votre composition.
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Après avoir regardé le clip, on vous a fait une petite liste des clichés poussés par Night Works. Une belle introduction pour devenir un hipster de vitrine :
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- Visiter la Tour Eiffel;
- faire la bise, deux fois;
- aller au Centre Pompidou;
- lire des vieux livres d’histoire;
- mettre du synthé dans ses morceaux;
- se servir de feuilles roses pour écrire des messages;
- avoir une immense carte au lieu de Google Map sur son iPhone;
- assumer de faire des photos ringardes en faisant mine de toucher des lieux historiques (cf. photo ci-dessus);
- filmer sa bouffe sans filtre Instagram;
- assumer d’aller au Louvre;
- manger des glaces;
- lire Le Monde;
- boire des Mojito;
- poser devant un tableau de Napoléon;
- se balader avec des ballons.
Si vous voyez d’autres indices qui façonnent aussi l’identité de “l’européen moderne” (l’euphémisme de hipster) selon Night Works, n’hésitez pas à nous les faire parvenir.