Dans son dernier long-métrage (peut-être dans tous les sens du terme), le réalisateur anglais de 86 ans poursuit son engagement humaniste en nous racontant l’accueil plus que mitigé réservé aux réfugié·es syrien·nes dans une petite ville minière et sinistrée du Nord de l’Angleterre, un décor que le réalisateur connaît désormais comme sa poche tant il y a promené sa caméra avec toujours la même abnégation idéaliste.
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Au centre, un pub décrépi, The Old Oak, qui accueillait principalement des ouvriers désœuvrés jusqu’à ce que le propriétaire des murs décide de transformer son établissement en cantine pour les plus démunis, aidé de Yara, une jeune migrante passionnée par la photographie avec qui il se lie d’une amitié imprévue, un peu à la façon de Daniel et Katie, les deux héros de Moi, Daniel Blake, palme d’Or à Cannes en 2006.
Présenté cette année en compétition au festival de Cannes, The Old Oak sortira au cinéma le 25 octobre prochain.
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