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Justement : c’est face à ce (plus grand ?) classique du rap français et l’un des morceaux les plus emblématiques d’IAM que nous avons mis Akhenaton. À travers son deuxième couplet et son texte fidèlement illustré par le clip, et sans oublier le premier et excellent couplet de Shurik’n (absent, à notre grand regret), introspection de Sentenza.
Journalistes : Louis Lepron et Rachid Majdoub
À voir également -> Derrière la plume de Booba, le bitume d’Élie Yaffa
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