DJ Mehdi : Made in France : 7 fois (minimum) où Mokobé nous a fait pleurer de rire

Publié le par Simon Dangien,

© Youtube Arte “DJ Mehdi : Made in France (4/6) | Le prince de la ville”

"Je m’en foutais moi des Beatles, j’en avais rien à fouuuutre."

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Dévoilé sur arte.tv et réalisé par Thibaut de Longeville, le documentaire DJ Mehdi : Made in France est dans toutes les bouches (et surtout les têtes) depuis sa sortie. Si la retranscription de la carrière et de l’aura de DJ Mehdi est assez époustouflante, c’est également la richesse des témoignages qui marque cette série documentaire. Famille, amis, proches… ils sont nombreux à prendre la parole. Parmi eux, le rappeur Mokobé, en grande forme. Il se distingue tout au long des épisodes par sa sincérité, ses déclarations et son humour, chaque spectateur attendant avec impatience la prochaine réplique d’un Mokobé hilarant.

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Mokobé qui imite DJ Mehdi sur son MPC (ou machine à sample)

Séquence marquante allongée volontairement par le réalisateur qui s’est même permis d’ajouter quelques bruitages pour accentuer le comique, Mokobé y raconte et y imite le génie de DJ Mehdi derrière ses consoles électroniques, expliquant que ce dernier pouvait te regarder dans les yeux en continuant de jouer, comme si de rien n’était : “Des fois il me regardait, ‘regarde-moi je suis Stevie Wonder’, il avait une manière de taper le beat qui était hors du commun. […] C’était de la magie.”

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Mokobé qui s’en tape complet des Beatles

Dans l’épisode 5, alors que DJ Mehdi raconte qu’il est un grand fan des Beatles depuis très jeune, Mokobé débarque dans le documentaire avec une des séquences les plus drôles des six épisodes : “À l’époque, j’en avais rien à foutre des Beatles, moi. Moi, pour moi, les Beatles, c’était quatre-cinq lycéens qui étaient là avec des coupes au bol, j’en avais rien à fouuuutre.” DJ Mehdi lui rétorque alors que “c’est ces mecs qui ont permis que la technologie musicale avance”, et Mokobé termine en expliquant que Mehdi “n’était pas qu’un compositeur, c’était quelqu’un qui avait compris la musique dans sa globalité”.

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Kraft quoi ?

Kraftwerk est un groupe pionnier des musiques électroniques, et il faut avouer que le blaze peut faire un peu galérer.

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Nous aussi on veut bouffer à Pizza Pino 

En 2000, le groupe 113 gagne deux Victoires de la musique. Une soirée que Mokobé raconte dans l’épisode 4 avec des anecdotes hilarantes, de l’imitation de Pascal Obispo, “Ah bah bravo les gars”, à la fameuse Pizza Pino : “La maison de disques veut nous inviter chez le Fouquet’s mais on en avait rien à foutre, nous on va à Pizza Pino, on se retrouve à 200.” Et ce, afin de dévorer la fameuse pizza “orientale merguez avec des œufs dessus” (le meilleur combo si vous voulez mon avis).

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“Alors ? T’es avec les Daft Punk ?”

Cette phrase représente bien le pont réalisé par DJ Mehdi qui s’écarte peu à peu du rap pour se rapprocher du monde des musiques électroniques, formant la French Touch et créant forcément quelques incompréhensions.

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Mokobé raconte le fameux “nouuuuus” de Jimmy Sissoko

Au début de l’épisode 4, on suit la création du morceau “Jackpotes 2000” en featuring avec Jimmy Sissoko. Séquence une nouvelle fois très drôle racontée par Mokobé avec son ton unique. La séance studio prend du temps, Jimmy bloque longtemps sur une note et Rim’K craque. Mokobé pour l’imitation : “À un moment donné Rim’K lui dit : ‘T’es en train de nous casser les couilles avec ton ‘nous’.’ [rires]”

“T’achètes tes vinyles dans un jardin ?”

Cette phrase, c’est Mokobé qui la prononce au moment où il se rend compte des vinyles que possède DJ Mehdi. Il avait une immense collection, dans laquelle ces disques provenaient de tous les styles, de toutes les époques, et pouvaient se distinguer par des pochettes originales, parfois très spéciales, mais qui renfermaient peut-être les plus beaux trésors musicaux pour Mehdi.

Petit bonus issu de notre vidéo hommage à DJ Mehdi, lorsque Mokobé nous raconte en détail sa blague faite à Mehdi après leur rencontre avec Thomas Bangalter des Daft Punk. À visionner sans modération.