On vous promet que ça vous donnera faim, mais pas trop non plus.
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On aurait bien envie de les déguster lors d’une visite au musée, même si parfois, elles peuvent aussi nous dégoûter et nous plonger dans une profonde déprime vaniteuse : ce sont, ce sont… les natures mortes. La peinture permet de figer la nourriture pour la contempler sans limite, et les peintres ne se sont pas empêché·e·s d’en produire beaucoup, quitte à en faire leur marque de fabrique à la manière d’Arcimboldo. Voici dix natures mortes que l’on dévorerait bien au souper, au dîner, au goûter, au déjeuner.
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Paul Cézanne, Nature morte aux pommes
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Willem Kalf, Nature morte avec la corne à boire de la corporation des archers de Saint-Sébastien, un homard et des verres
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Francisco de Zurbarán, Nature morte avec citrons, oranges et rose
Pieter Claesz, Nature morte à la tourte avec une dinde
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Le Caravage, Nature morte aux fruits
Floris van Schooten, Nature morte avec jambon, fromage, beurre et petit pains
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Louise Moillon, Nature morte aux pêches et aux prunes
Clara Peeters, Nature morte aux fromages, amandes et bretzels
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Henri Matisse, Nature morte aux oranges ou La corbeille d’oranges