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Invitée de l’émission radio Totémic de France Inter, l’artiste francophone la plus streamée du monde se dévoile loin des rythmes chaloupants et des sons dansants qui l’ont fait connaître pour interpréter “J’ai mal”, un morceau tout en vulnérabilité. Le titre est issu de son nouvel album DNK (en référence à Danioko, son nom de famille) sorti le 27 janvier dernier. Sortez les mouchoirs, c’est beau comme tout.
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“Mon cœur crie à l’aide (À l’aide), c’est pour ça que je t’appelle
Offre-moi ta main, elle me servira d’attelle
Mon cœur crie à l’aide, tu vois pas que je t’appelle ?
J’ai mal, j’ai mal”
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Si ce nouvel album célèbre la sensualité et les joies charnelles à travers des frappes ultra-efficaces comme “Baby” ou “Tous les jours”, la nouvelle patronne de la pop française fait également tomber le masque et n’hésite pas à aborder la toxicité sentimentale, que ce soit de façon implicite sur “Coller” ou plus frontale avec “J’ai mal”. C’est d’ailleurs ce second titre qu’elle choisit d’interpréter au micro de France Inter, dans une performance guitare-voix qui prouve que la boss, toutes catégories confondues, c’est bien elle.
Maladroitement catégorisée de “rappeuse” à ses débuts, Aya Nakamura prouve une fois encore que sa musique se déploie autant sur les dancefloors que dans nos playlists plus planantes. D’autres ballades plus douces colorent d’ailleurs déjà sa discographie, à l’image du romantique “Fly” sur son précédent album AYA.