Un dentifrice fleuri spécial femme ou même des soupes conçues pour les hommes ? Voici des exemples existants de ce qu’on appelle le “marketing genré”. Depuis les années 1980, de nombreuses marques décident de créer des produits pour hommes et d’autres pour femmes, uniquement dans le but de vendre plus.
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Pire encore, il arrive parfois que les marques fassent payer une “taxe rose”. Concrètement, pour un objet identique, on fera payer plus cher le produit rose, destiné donc aux femmes.
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Cela peut paraître dérisoire, mais le problème est pourtant bien réel. Le marketing fait partie intégrante de notre quotidien, et les stéréotypes diffusés par de très nombreuses marques peuvent avoir un impact sur l’égalité femme/homme sur le long terme.
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Depuis mars 2018, Marion Vaquero traque et publie sur sa page Twitter Pépite sexiste les pires exemples de cette communication genrée, uniquement imaginée pour vendre plus. Pour Konbini news, elle revient sur ces techniques de vente qu’elle considère sexistes, et imagine ce que pourrait être le “marketing parfait”.