“Nous sommes extrêmement attachés à l’action en détention et nous voulons continuer à intervenir auprès des détenus.”
Publicité
Publicité
Sophie Chandron, vice-présidente du Genepi, association étudiante créée en 1976, revient sur la décision de l’administration pénitentiaire de ne pas renouveler la convention et la subvention du Genepi. “Concrètement, ça nous empêche d’intervenir en prison”, déclare la jeune femme qui explique attendre une réponse de la garde des Sceaux, Nicole Belloubet, à qui l’association a adressé un courrier en début de semaine.