C’est la star des soirées adolescentes, le protoxyde d’azote plus connu sous le nom de gaz hilarant, fait aujourd’hui l’objet d’études concernant ses conséquences dangereuses sur la santé de celles et ceux qui en consomment.
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Détourné de son usage habituel, le “proto” bénéficie pour l’heure d’un vide juridique. On en trouve en boîte de nuit, sur Internet et dans les grandes surfaces en libre accès. En parallèle, les premières municipalités s’activent pour en interdire l’usage.
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L’influenceuse Tchikita en prenait jusqu’à 400 capsules par soir. Aujourd’hui, elle a de sérieux problèmes de motricité au niveau des mains. Et, selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), auteure d’une étude sur les dangers liés à ce gaz hilarant, l’influenceuse serait loin d’être un cas isolé.
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