Pour écrire son livre “La peur et la haine”, publié aux éditions Michel Lafon, l’anthropologue français s’est intéressé pendant quatre ans au survivalisme. En France, il a assisté à des stages où l’on apprenait “à fracturer la trachée de quelqu’un avec un bâton, égorger et étrangler des gens”.
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“J’avais appris des techniques d’assassinat, des techniques de meurtre. Moi, là, je me suis dit : ‘Ok, qu’est-ce que ça veut dire ?’ Que moi, un civil, aujourd’hui en France, je peux aller dans une espèce de petite salle de sport et m’entraîner pendant trois-quatre heures à tuer des gens ?”
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