C’est l’histoire des gens à la rue, de logements vides, une volonté politique et des promoteurs immobiliers. Nous sommes partis à Rennes avec Blanche Gardin pour comprendre comment la ville y lutte contre le sans-abrisme.
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Pour bien faire, il nous faut,
- un promoteur immobilier disposant d’un bâtiment vide en attente d’être détruit suite à l’obtention d’un permis de construire (ce qui peut prendre jusqu’à 3 ans)
- un tissu associatif prêt à accompagner les personnes dans le logement et assurer qu’il soit rendu à terme du bail
- Une fondation, type Abbé Pierre, qui met en lien les acteurs et fournit de l’argent pour humaniser le lieu (des travaux pour vivre décemment.)
- une ville qui accepte de payer les fluides (eau, gaz électricité)
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À terme, ça donne des logements à ceux qui en ont besoin, ça coûte moins cher au promoteur que le gardiennage et ça sécurise l’espace public. Tout ceci semble découler du bon sens, et pourtant c’est un dispositif que des bénévoles portent à bout de bras et qui n’est encore que très peu mis en place à travers la France.