“La précarité menstruelle, c’est quand on n’a pas les moyens de se payer des protections hygiéniques tous les mois.”
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Axelle de Sousa est sans domicile fixe depuis deux ans. Avec un coût moyen en France de 18 euros mensuels pour se procurer des protections hygiéniques, bien plus élevé pour Axelle qui est atteinte d’une maladie, elle s’est retrouvée dans une situation de précarité menstruelle.
La jeune femme a donc lancé une pétition intitulée “Paie tes règles” pour demander la gratuité des protections hygiéniques pour toutes les femmes, en priorité celles qui bénéficient de la couverture maladie universelle (CMU) ou de l’aide au paiement d’une complémentaire santé (ACS). Elle souhaiterait également que des protections hygiéniques gratuites soient mises à disposition dans toutes les toilettes publiques, puisque “plein d’urinoirs ont fleuri à Paris ces derniers mois”.
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Et de conclure : “si on a le droit de pisser partout, pourquoi on n’aurait pas le droit de saigner partout ?”