C’est la première fois depuis la seconde guerre mondiale que l’espérance de vie diminue dans certaines provinces du Canada. La raison principale ? La crise du fentanyl, un opioïde cinquante fois plus puissant que l’héroïne.
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Dans un centre d’injection ou dans les rues de Downtown Eastside (quartier de Vancouver) qui prennent des allures de salle de shoot à ciel ouvert, des consommateurs font des overdoses quotidiennement.
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Cette crise des opioïdes tue également dans des petites villes où des consommateurs se shootent seuls, loin des centres d’injection. Dans ces provinces, les autochtones canadiens ont cinq fois plus de chance de faire une overdose que le reste de la population.
Allan Henry et Mathieu Habasque sont allés à la rencontre des victimes de ce fléau.
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