“J’ai vu 17 décès pendant mes trois ans et demi d’études d’infirmier. Arrivé en réanimation, j’ai arrêté de compter au bout de 500. Ça faisait moins de six mois que je travaillais.” Pour faire face à la mort et aux rythmes infernaux, Jean-Marc* s’est réfugié dans la consommation de stupéfiants. Jusqu’au jour de l’overdose. C’était à l’intérieur de l’hôpital, quelques semaines avant la pandémie.
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Aujourd’hui, Jean-Marc est pris en charge par la Maison des soignants, à Paris. Cette association œuvre gratuitement pour tous les soignants en demande d’aide.
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Nous les avons rencontrés.
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*Prénom modifié