Au total, Celas va rester un peu plus d’un an sur la station Amundsen-Scott, au pôle Sud. À partir du mois de février, 40 autres personnes et lui vont hiverner, isolées du reste du monde. “Il n’y aura aucun avion qui pourra venir ici”, nous a-t-il assuré. Mais pas de panique, puisque la station est très bien équipée : il y a un gymnase, un sauna, une salle de muscu, un hôpital, une cafétéria, une bibliothèque.
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Les deux vrais défis auxquels Celas doit se confronter : le froid et l’éloignement. “On a la chance d’être là mais on se prive aussi de beaucoup. Des naissances dans la famille, parfois aussi il y a des décès, c’est aussi très difficile à vivre à distance. De voir que la vie continue en métropole et qu’en attendant, nous, on vit quelque chose ici.” Pour voir son Speech :
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