Il y a quelques mois, j’avais la chance d’écrire sur l’un des chefs qui me fascine le plus depuis que je travaille sur les questions d’alimentation et de gastronomie : Pascal Barbot. Le titre que j’avais choisi, et dont j’étais assez content, était le suivant : “L’histoire du retour (très attendu) du chef préféré de ton chef préféré”. L’article retraçait le parcours de ce chef, unique en son genre, sensible et pédagogue, génie formateur et sommité chez les cuisinier·ère·s de tous âges.
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Parce que Pascal Barbot, en plus d’être l’un des chefs les plus brillants de sa génération, est aussi à l’origine d’une génération de jeunes chef·fe·s tou·te·s aussi doué·e·s les un·e·s que les autres : Manon Fleury, Chloé Charles, Magnus Nilsson ou Tatiana Levha… Mais également Adeline Grattard, aujourd’hui étoilée dans son restaurant Yam’Tcha, qui a eu un jour l’idée de franchir la porte de l’Astrance pour décrocher un job qui changera sa vie à tout jamais.
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Le temps d’une soirée, dans le cadre d’une série de dîners où Pascal Barbot ouvre ses cuisines à d’autres chef·fe·s, ce dernier a eu l’idée de redonner vie à un souvenir, pas si lointain, qui a enchanté la minuscule cuisine de l’Astrance originelle – celle de 17 mètres carrés de la rue Beethoven, un temps auréolée de trois étoiles –, en invitant Adeline Grattard à venir l’épauler à nouveau pour cuisiner, ensemble, un menu à quatre mains capable de faire le pont entre leurs deux cuisines et leurs deux univers. On pense notamment à la réinterprétation du beurre blanc à la sauce soja de Pascal Barbot avec du vin Shaoxing, ou encore le bao au bleu signature d’Adeline Grattard, revisité cette fois avec de la fourme d’Ambert.
Pour marquer le coup et immortaliser ces touchantes retrouvailles, on a eu l’idée de confier un appareil photo jetable aux deux brigades pour immortaliser ce repas pas comme les autres.
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Article rédigé dans le cadre d’une invitation presse par l’Astrance.