On n’est qu’au tout début de la saison que l’OM a déjà vécu sa première désillusion. En match retour de tour préliminaire de la Ligue des champions, les Marseillais devaient s’imposer face au Panathinaïkos pour se qualifier pour les barrages. La mission est claire et elle est parfaitement remplie : deuxième minute de jeu, Pierre-Emerick Aubameyang ouvre le score et son compteur but. Juste avant la mi-temps, le Gabonais s’offre un doublé. Les Olympiens, séduisants, sont pour l’instant qualifiés. Mais avec l’OM, rien n’est jamais acquis.
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Les Grecs reprennent la maîtrise du ballon, sans se montrer très dangereux pour autant. À la toute fin du temps additionnel, on pense le résultat acquis, mais l’arbitre consulte la VAR pour une main de Guendouzi dans la surface. Penalty pour le Panathinaïkos, transformé sans problème. Direction les prolongations.
À l’OM, on fulmine contre l’arbitrage pour une faute oubliée sur Guendouzi dans la surface adverse quelques minutes avant sa main. Et ça ne va pas s’arranger. Sur un centre du même Guendouzi, Vitinha trompe le gardien athénien, mais l’homme en noir siffle un hors-jeu litigieux après une nouvelle consultation de la VAR.
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Direction la séance de tirs au but. Marcelino, le nouvel entraîneur des champions d’Europe 1993, fait un changement de gardien. Un remplacement qui ne sert à rien. Après la tentative manquée de Guendouzi (décidément), Ruben Blanco, le nouvel entrant, n’effectue aucun arrêt. On est le mardi 15 août et la saison en Ligue des champions de l’OM se termine déjà.