Après avoir survolé les Jeux olympiques de Paris avec quatre médailles d’or, nul ne doutait des aptitudes de Léon Marchand, mais qui aurait pu prédire son expertise dans un domaine bien différent de la natation : le Rubik’s Cube ? “Mon papa m’en a acheté un quand j’étais gamin. Je me souviens que lorsque je n’arrivais pas à dormir, je venais le réveiller et on allait jouer aux échecs. On parlait de Rubik’s Cube, il m’a appris deux ou trois trucs. Il ne savait pas le faire, mais il voulait que j’apprenne”, a confié Léon Marchand à Mouloud Achour dans Clique.
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“Je n’ai plus le même niveau qu’avant. À l’époque, j’arrivais à le résoudre en à peu près 15 secondes. Tu verrais mon étagère, j’en ai une vingtaine !”.
Alors, Léon Marchand se lance, gamin, dans ce monde parallèle. “Ça faisait deux mois que je faisais du Rubik’s Cube. Je me suis dit : ‘Bon allez, on y va'”, sourit-il. Il apprend différentes techniques et secrets sur YouTube. S’il n’était pas le meilleur au départ, il a rapidement progressé : “J’aime bien pousser à fond les thèmes que j’aborde”. Aujourd’hui, les Rubik’s Cube continuent de l’accompagner dans sa vie, notamment sportive, comme un porte-bonheur. “Je les apporte toujours en compétition, ça me permet de me déstresser un peu aussi”.
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