Déso, c’est l’été où on se met aux sandales de touriste allemand (et en plus, on va payer 300 balles)

Vous hésitiez à passer le pas pour une paire de Crocs ? À casser votre PEL pour une paire de Birkenstock Dior ? À vous lancer dans la tendance sabots Scholl ? Eh bien non, c’est encore pire : cet été, on va tous succomber à petit feu à la paire de sandales de daron, aux sandales de touriste allemand, aux sandales de moine, aux sandales en cuir bien second rôle des Choristes. La faute à qui ? À l’éternel recommencement, évidemment, mais aussi au fantasme de la silhouette du papy méditerranéen qui hante un peu plus à chaque saison les collections de la marque américaine qui dicte le cool Aimé Leon Dore.

Pour monter dans le train de la sandale, il faudra être au bon moment au bon endroit lors du drop sur le site de la marque et débourser un joli 295 euros, sans doute le prix à payer pour une paire fabriquée en Italie et pour les regards jaloux dans les transports. Si vous sautez le pas, il vous restera à trancher le plus grand des dilemmes : les sandales de pêcheur, avec ou sans chaussettes ?