Après les adultes, le Fooding va s’occuper de l’estomac de nos kids

Après avoir imposé sa touche et son expertise en matière de restaurants qui valent le coup, le Fooding passe à la vitesse supérieure. Le guide vient de dévoiler, sans crier gare, une nouvelle rubrique sur son site à destination des plus jeunes. “Le Fooding propose ainsi une nouvelle rubrique aux parents motivés ou éreintés, aux mamans solo et aux papas gagas, aux tribus recomposées et aux familles qu’on se crée, aux cool kids et aux tornades en herbe, mais aussi à tous les autres”, explique le guide.

Dans cette rubrique, Kids, on retrouvera ainsi une ribambelle d’articles qui aborderont les thématiques de parentalité et de restauration, mais pas que. Des recettes de (mini-)chef·fe·s viendront garnir cette rubrique, au même titre que des adresses où les enfants sont (enfin) les bienvenus, proposant des menus enfants et des événements qui leur sont spécialement dédiés. “Le tout avec ce pas de côté qui caractérise notre guide – joyeux, sans filtre ni retouches, sans complexes mais avec tout ce qui fait la spontanéité de la jeunesse, entre galère et beauté des liens dans toute leur authenticité. Pour que le goût de leur époque soit aussi bon que le nôtre”, dit le Fooding.

Le lancement a également été accompagné d’un manifeste, brillant et nécessaire, dont nous partageons un extrait :

“On nous assène le besoin d’un ‘réarmement démographique’, mais on n’a pas suffisamment de crèches ; on nous enjoint à être performant·e·s au travail, comme si on n’avait pas de vie familiale débordant sur tout le reste ; on glorifie le bien-manger, mais on n’a pas de cours de cuisine à l’école. Encore trop souvent cantonnées à l’intime, quand elles ne sont pas carrément exclues des ‘vraies’ discussions de société, les questions de parentalité (et de l’enfance qui va avec) traversent pourtant tous les champs du vivre-ensemble : la politique, l’économie, l’écologie, les évidentes discriminations de genre, les réflexions de classe. Et s’imposent comme l’un des sujets intersectionnels de notre époque.”

Pour lire le manifeste en intégralité, c’est par ici.