Il existe un mot pour décrire les soirs où la lumière des villes nous empêche de voir les étoiles

Publié le par Pharrell Arot,

(© Jake Weirick / Unsplash)

Un joli mot pour faire le deuil des étoiles perdues dans la pollution lumineuse.

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Lever la tête la nuit ne nous garantit plus de pouvoir observer les étoiles en se sentant infiniment petit. La faute à la pollution nocturne dégagée par nos mégalopoles. Pour décrire cette triste réalité, Paul Sutter, astrophysicien à la Flatiron Institute, a proposé le mot parfait : la, en anglais dans le texte, “noctalgia”, un mot qu’on vous propose de traduire en français par “nostalgnuit”.

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Nouveau mot ou single de Drake ?

Ce fameux mot – qui pourrait facilement être repris en titre de chanson par Drake dans un morceau bien ouin-ouin, dédicace à sa capsule Nocta pour Nike – publié dans la très sérieuse publication Space.com et relayé par les Américains de Futurism correspond parfaitement à ce moment où, alors qu’on voudrait se faire envelopper par la nuit, rien ne brille d’autre que les néons de l’humanité au-dessus de nos têtes.

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Mais on ne voit vraiment plus les étoiles ? Eh bien non, car même s’il est toujours possible de se prendre un shot de Voie lactée à la campagne, la “brillance” de la Terre augmenterait, selon une autre étude partagée elle aussi par Futurism, de 9,6 % par an depuis 2011. Pour une fois, on peut le dire, le ciel étoilé, c’était mieux avant.