Cette trend met la lumière sur tous les trucs bien honteux qu’on a faits en story privée pour plaire à notre crush

Publié le par Mélissa Chevreuil,

Montage Konbini @datgallilly/@lusimann123

Ou l’époque où on vivait pour les caméras… et où notre dignité était bien timide, visiblement.

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Qui ne s’est jamais fait passer pour ce qu’il n’était pas juste pour plaire à son crush du moment ? Le beau brun mystérieux qui hante vos songes adore Naruto ? Hop, on court à la librairie du quartier choper les dix premiers tomes, histoire de bien être dans l’excès. Votre voisine douce et espiègle n’écoute que du Hamza ? Hop, ni vu ni connu on sort les poubelles dans l’espoir de la croiser alors qu’on porte un hoodie du merch de l’opus Sincèrement. Bref, on a tous tenté ce genre de mouv (un peu) désespéré et peu discret pour attirer l’attention. Sur TikTok, les utilisateurs ne sont pas en reste et ont décidé en toute humilité (et générosité) de partager ces petites capsules temporelles. Avec la musique “Crazy” et les premières paroles qui décrivent la situation “I remember, I remember when I lost my mind…”, chacun rappelle CE moment gênant.

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Comme ici, avec la tiktokeuse Erikamusa, qui “se souvient de la fois où son crush avait un penchant pour les danseuses et qu’elle a fait une story privée pour lui”. On la voit alors improviser une chorégraphie de manière très, très aléatoire.

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@lusimann123

HAHAHAH

♬ Gnarls Barkley Crazy Stephen Kramer Glickman - Gustavo Rocque

Des exemples comme ça, il y en a beaucoup : l’une se coiffe comme Ariana Grande et tape son meilleur lip sync, une autre se fait passer pour une fan d’animes en dansant sur un audio qu’elle ne connaît possiblement pas…

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@datgallilly I was delulu… #irememberwhen #lostmymind #memories #fypシ゚viral ♬ Gnarls Barkley Crazy Stephen Kramer Glickman - Gustavo Rocque

Bref, c’est une compilation de “VDM” savoureuses, plutôt féminine (mais pas que) et qui se veut feel good à souhait, même si on peut parfois douter de l’authenticité de certaines vidéos – après tout, cela reste une trend sur une plateforme lucrative, business is business. Mais en attendant, on adore voir des désormais presque trentenaires partager, les joues rougies par la honte, de vieilles vidéos d’eux au karaoké ou sur un terrain de foot alors qu’ils sont aussi mélomanes que footix.