Au détour de notre dernière recherche de nouveautés au supermarché du coin de notre rue, nous sommes tombés sur un drôle de concept : une itération au beurre de cacahuète de la meilleure barre chocolatée industrielle du marché. Le Snickers numéro uno ? Bien sûr, c’est même haut la main la confiserie qui inspire le plus de desserts sur les tables de restaurants et autres pâtisseries huppées.
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Un Snickers plus fin donc, sans “veine de teub” (si, si, c’est le vocabulaire consacré), coupé en deux, et garni de beurre de beurre de cacahuètes à la place des classiques… cacahuètes. Un Snickers avec moins de texture ? Drôle de promesse. Au goût, c’est effectivement une barre chocolatée industrielle très sucrée, mais qui n’apporte pas le fameux umami qui fait du Snickers le guilty pleasure de beaucoup de foodies et autres critiques culinaires. Bon, elle n’est pas mauvaise cette nouvelle sucrerie, mais elle n’arrive pas à la cheville de son grand frère.
Mais cette histoire de frigo, alors ? Parce que manger une barre chocolatée peut devenir un petit rituel de kif si vous lui donnez le temps. Pour apprécier au maximum votre Snickers (tradi ou pas), placez-le au frais, et au moment de le manger, coupez-le en petites bouchées à l’aide d’un couteau. Pourquoi ? Déjà, le froid anesthésie un peu le rush de sucre et de gras, mais fige surtout les différents étages de la barre, permettant une explosion de textures en bouche, ce qui est ce qu’on recherche dans ce genre de produit industriel ; goûter à quelque chose qu’on ne peut pas reproduire à la maison. Et pourquoi la couper en petits morceaux au couteau ? Encore une histoire de “mouth feeling”, pour garder le “snap” du chocolat, sentir avec votre langue les différentes couches de caramel, de cacahuètes, et profiter au maximum de votre petit plaisir plus ou moins coupable.
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Alors, ces barres de chocolat qui traînent sur votre plan de travail, vous allez gentiment me les mettre dans la porte du frigo, c’est désormais leur place, même en hiver.