Coup de tonnerre dans le monde du pain et de la baguette bien cuite. À la toute dernière coupe du monde de la boulangerie, organisée à Paris, c’est une baguette de pain chinoise qui s’est hissée à la première place, devant le Japon et le Danemark. La France, elle, n’est pas parvenue à accéder au podium. Une sacrée désillusion dans cette compétition internationale qui a lieu tous les quatre ans, à l’image des Jeux olympiques ou du Mondial de football.
Publicité
Publicité
Un savoir-faire en péril ?
La fin d’un mythe pour ce savoir-faire pourtant très français ? On le craint. Lors de la dernière édition de la compétition, en 2016, la France n’avait déjà pu décrocher que la troisième place, derrière la Corée du Sud et Taïwan.
Publicité
Ce concours réunit la crème de la crème des artisans boulangers et pâtissiers venus des quatre coins du monde autour de quatre épreuves : baguette et pain du monde, pièce artistique, viennoiserie sucrée et panification gourmande. Cette année, on retrouvait parmi les pays en lice la France, les Pays-Bas, le Danemark, l’Égypte, le Maroc, la Côte d’Ivoire, les États-Unis, le Costa Rica, Taïwan, la Chine, la Corée du Sud et le Japon.