Depuis le début des années 1990, Kelly Angood, une graphiste installée à Londres, tient un album pas comme les autres : elle a précieusement conservé et consigné toutes les étiquettes de fruits auxquels elle goûtait.
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Plus tard, l’idée lui est venue de rendre sa collection publique, par l’intermédiaire d’un compte Instagram qui compte aujourd’hui plus de 30 000 abonnés. On y retrouve des étiquettes venues du monde entier : France, Équateur, Japon, Espagne, Italie, Costa Rica, Jamaïque…
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Pour Atlas Obscura, elle revient sur son initiative, et surtout sur l’histoire de ces petits autocollants, pensés par le feu producteur de pommes Tom Mathison implanté à Washington. Un moyen pour lui, à l’époque, de signaler l’origine de ses produits, de garantir au consommateur leur provenance et leur lieu de production, mais surtout de se différencier par rapport aux autres pommes des concurrents sur les étals.
Voici un aperçu de son impressionnante collection :
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