État des lieux d’urgence sur le plastique, tour d’horizon des alternatives et bonnes pratiques à adopter. #Leplastiquenonmerci par France Inter et Konbini.
À première vue, Game of Thrones, American Gods, The Rain et Black Mirror n’ont pas grand-chose en commun. Chacune évolue dans son propre univers, développe sa propre mythologie et traite de thématiques diverses. Et pourtant, ces quatre séries (ainsi que l’anthologie animée Love, Death + Robots) ont toutes la particularité de dissimuler une métaphore, parfois filée, ayant trait à l’écologie.
Dans le cas de Game of Thrones, l’avancée des Marcheurs blancs et l’hiver qui arrive incarnent le danger du dérèglement climatique, à savoir une ère glaciaire éternelle. Pour American Gods, le personnage d’Ostara est un symbole de la dégradation des sols : elle supprime le printemps car les gens ont cessé de croire en elle, en la nature. Quant à The Rain, le périple de Simone est parsemé de références à la pollution de l’eau et de nos nappes phréatiques, qui pourraient à terme nous empoisonner.
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