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Après les terres colombiennes de Narcos, les forêts de conifères allemandes de Dark et les ruelles de Paris dans Plan Cœur, Netflix continue son tour du monde avec Jinn. Cette nouvelle série, qui mélange mysticisme et teen drama, est la première production arabe du géant américain. Elle a été entièrement tournée et produite en Jordanie avec des acteurs locaux et pioche ses références dans la mythologie musulmane, notamment avec les djinns, des créatures démoniaques.
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L’histoire de Jinn, décrite comme contemporaine et fantastique, se déroule à Amman, la capitale de la Jordanie. Elle suit le quotidien d’une bande de lycéens qui va libérer un démon enfermé dans les ruines de Pétra, une cité légendaire datant de 300 ans avant Jésus-Christ. Le djinn, qui est capable de se rendre invisible et de manipuler les esprits des adolescents, va alors semer la discorde dans le groupe tout en leur offrant des pouvoirs surnaturels pour s’entre-déchirer.
Ce n’est pas la première fois que Netflix s’inspire du folklore arabe pour une série de genre. Elle avait déjà fait le coup avec l’horrifique et crado Ghoul, production indienne plus confidentielle que Jinn, clairement orientée vers un public jeune et amateur du binge-watching. La première saison de Jinn ne compte en effet que six petits épisodes d’une trentaine de minutes, qui seront disponibles dès le 13 juin prochain sur la plateforme de streaming.
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