À l’occasion de la sortie de son livre Transanatolia – pour lequel il a immortalisé la Turquie pendant cinq ans –, le photojournaliste Mathias Depardon est revenu sur sept images qui l’ont marqué : des débuts du printemps arabe à la crise migratoire, en passant par des paysages chinois esseulés et des archères au regard fier. Il nous parle des difficultés rencontrées sur le terrain, mais aussi des histoires humaines qui habitent ses images. “La plus grande difficulté à être photojournaliste, c’est d’être photojournaliste.”
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Vous pouvez vous procurer son livre Transanatolia aux éditions André Frère et suivre son travail sur son site officiel et son compte Instagram.