Terminator, Aliens, Titanic ou Avatar, les films de James Cameron cumulent des millions d’entrées depuis des décennies. Pourtant, on connaît peu la genèse du travail créatif du cinéaste. Un épais ouvrage de plus de 330 pages entend répondre à cette question et mettre en lumière les premières amours du réalisateur pour le dessin et la peinture.
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Tout petit déjà, le Canadien remplissait des carnets de croquis “de créatures extraterrestres, de mondes fort lointains et de merveilles technologiques”, énumèrent les éditions Insight, qui publient le livre. Le dessin n’a jamais cessé d’accompagner James Cameron, qui confie à Artnet avoir passé ses jeunes années à ne faire “que dessiner”.
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Avant le succès, c’est son coup de crayon qui lui a permis de subvenir à ses besoins, grâce à des commandes commerciales. Une fois sa carrière lancée, son travail pictural a continuellement inspiré ses réalisations cinématographiques. Les thèmes qu’il chérissait plus jeune sont devenus réalité sur écran, “des menaces d’une catastrophe nucléaire aux dangers inhérents au développement de l’intelligence artificielle”.
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L’amour du geste à l’origine de succès du box-office
Les dessins rassemblés sont très variés, passant d’un médium à l’autre, et permettent au lectorat de découvrir les prémices des personnages portés sur écran par James Cameron. On explore par exemple les origines des créatures d’Avatar, dont la plupart des plus complexes ont été conçues d’un seul geste de la main : “Parfois il suffit d’un geste sauvage”, se réjouit le cinéaste auprès d’Artnet.
Les pages de Tech Noir: The Art of James Cameron, préfacé par l’acteur Guillermo del Toro, vieil ami du réalisateur, présentent une imagination fertile, des traits acérés et de profondes réflexions sur le monde et son avenir.
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Tech Noir: The Art of James Cameron est disponible en précommande aux éditions Insight.