Contraints de garder leurs portes closes à cause de la pandémie, de nombreux musées vous proposent de découvrir leurs collections grâce à des visites virtuelles. Pour pimenter un peu vos découvertes, certains d’entre eux ont décidé de vous présenter leurs pièces les plus flippantes, directement sur Twitter grâce aux hashtags #CreepiestObject et #CuratorBattle.
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Ainsi, des dizaines de musées à travers le monde ont partagé leur objet le plus effrayant, en réponse à l’appel lancé par le York Museum. L’établissement anglais avait ouvert le bal il y a quelques semaines, avec un post Twitter présentant un chignon de cheveux humains, qui avait autrefois couronné la tête d’une femme romaine au IIIe ou IVe siècle. Charmant, non ?
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Voici un florilège des meilleures (ou pires…) publications autour de ce challenge. Commençons par le Deutsches Historisches Museum de Berlin, qui a répondu présent en publiant l’image d’un masque de médecin de la peste.
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La cinémathèque française a rejoint le défi #CreepiestObject avec une pièce emblématique de ses collections : la tête de madame Bates dans Psychose, d’Alfred Hitchcock.
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En Islande, on a découvert le nábrók du musée de la sorcellerie d’Hólmavík, un pantalon de sorcier fabriqué en… véritable peau d’homme.
L’Asian Art Museum de San Francisco, quant à lui, a partagé ce petit netsuke : un objet vestimentaire traditionnel japonais servant à maintenir les vêtements. Il avait été utilisé dans le Japon du XIXe siècle pour fixer une petite boîte à la ceinture d’un kimono. “Parfait pour une ambiance punk rock”, a souligné le musée.
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Le musée d’Andy Warhol a posté cette petite boîte envoyée au pape du pop art par l’un de ses fans en 1977. Accompagnée d’une lettre, elle contenait des coupures d’ongles, du papier et des abeilles mortes… Sympathique comme cadeau !
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Pour encore plus de frissons, vous pouvez retrouver tous ces objets improbables (et très flippants) grâce aux hashtags #CreepiestObject et #CuratorBattle sur Twitter.