C'est une image traitant de la montée des eaux et des inondations sur les côtes de Bombay qui a reçu les honneurs du jury.
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Le Prix Ciwem pour le photographe environnemental de l’année vient d’annoncer les noms de ses gagnant·e·s, qu’ils soient professionnel·le·s ou amateur·rice·s. Le concours vise à mettre en parallèle “les terribles impacts que connaît notre planète à cause de ses espèces dominantes” et la “capacité innée de l’être humain à survivre et innover” afin de souligner l’urgence climatique de notre planète tout en insufflant un peu d’espoir à la cause.
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Le jury a annoncé privilégier des images mêlant esthétisme et narration à travers des paysages ou des portraits parvenant à mettre en relation les nombreuses problématiques politiques et sociales intimement liées aux enjeux écologiques.
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Le lauréat du grand prix, ainsi sacré “photographe environnemental de l’année“ est le photojournaliste Shanth Kumar, qui a immortalisé les inondations et risques de noyade causés par la montée des eaux à Bombay, en Inde. Le prix du photographe environnemental de l’année junior (dédié aux moins de 21 ans) a quant à lui été décerné à Neville Ngomane pour son image d’un rhinocéros se faisant décorner afin de contrer le braconnage.
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Parmi les autres prix (“Changer d’environnement”, “Villes durables”, “Action climatique et énergie”, “Eau, égalité et sécurité”), on retrouve des paysages urbains enfouis sous d’épaisses couches de pollution et des représentations à l’échelle humaine des conséquences de la sécheresse à travers le monde. L’utilisation massive du plastique – qui finit sa course dans les océans –, la déforestation et les inégalités sociales causées par les dérèglements écologiques font également partie des sujets mis à l’honneur par les juges du Ciwem.
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(Les légendes sont issues et traduites de l’article duGuardian.