En 2014, Big Picture lançait la première édition de sa compétition dédiée à la nature. Pour la septième année consécutive donc, des photographes originaires du monde entier ont participé à la Natural World Photography Competition. Leur but ? Remporter un des prix (entre 1 000 et 5 000 dollars) offerts par l’organisation grâce à leurs travaux photographiques montrant la diversité de notre planète.
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Les participant·e·s peuvent choisir de concourir dans différentes catégories, telles que “Vie ailée”, “Vie sauvage”, “Faune terrestre”, “Paysages, paysages aquatiques, flores”, “Humain/Nature” grâce à des images uniques ou sous forme de reportages. Cette cuvée 2020 voit le photographe Andrew Parkinson recevoir les honneurs du Grand Prix du concours pour son image d’un lièvre roulé en boule sous la neige.
Le gagnant de la catégorie réservée à la “Vie aquatique” n’est autre que le Français Greg Lecœur. Le Niçois vit une année faste puisqu’il a déjà remporté remporté la première place française des Sony World Photography Awards 2020 (dont une partie du concours récompense un photographe par pays) pour son image de phoque crabier. Quelques jours plus tôt, il brillait également en pôle position du concours de l’Underwater Photographer of the Year 2020.
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Le concours étant ouvert à tou·te·s, certain·e·s des lauréats ne sont pas des photographes professionnel·le·s. C’est le cas de Yi Liu, la gagnante de la catégorie “Faune sauvage”, dont l’impressionnante image d’un guépard attrapant au vol son dîner a séduit les juré·e·s.
Les photographies récompensées ont pour vocation de représenter, autant que possible, la diversité de vie naturelle de notre planète. Ont été distinguées des images drôles et touchantes, ayant pour but d’informer, d’éveiller les consciences ou simplement de documenter. La catégorie “Humain/Nature” par exemple recense les “efforts des scientifiques, des conservationnistes et de tous ceux qui travaillent au maintien de la vie sur notre planète ou à la relation complexe entre les humains et la nature”. “Les images peuvent rapporter des récits aux impacts positifs aussi bien que négatifs”, conclut Big Picture.
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