Une clinique de chirurgie esthétique londonienne a récemment tenté d’appâter de futur·e·s client·e·s en publiant deux images d’une des personnalités préférées du Royaume, Kate Middleton. Sur le diptyque figure une photo de la Duchesse de Cambridge en 2014, pattes d’oie visibles, et une autre prise en 2012, où elle apparaît plus maquillée, avec une peau lissée.
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En légende de ces deux images, la clinique du docteur Gabriela Mercik commentait, dans un anglais approximatif : “Imagination d’un look naturel. Nous faisons des procédures qui font vous ressembler à un vous plus jeune [sic]“. Le palais royal n’a évidemment pas du tout apprécié qu’un centre de chirurgie esthétique utilise, sans son accord, l’image de Kate Middleton, en insinuant que cette dernière se rendait là-bas pour tirer ici ou là la peau de son visage.
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L’affaire a pris d’autant plus d’ampleur que, quelques jours auparavant, Sarah Ferguson (ex-épouse du Prince Andrew et membre particulièrement scandaleux de la Couronne) tournait une vidéo promotionnelle pour cette même clinique et posait pour leur compte Instagram.
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Déjà loin d’être appréciée par le reste de la famille royale (qui n’oublie pas les papparazzades la montrant en train de se faire sucer les orteils par son conseiller financier et ses relations amicales avec le pédocriminel Jeffrey Epstein), celle que l’on surnomme Fergie ne redore pas son blason. Ses liens avec la chirurgienne Gabriela Mercik poussent les spécialistes de la Couronne à penser qu’elle se cacherait derrière ce coup de communication. Comme quoi, Instagram a un pouvoir déstabilisateur capable de se faire sentir jusqu’à Kensington Palace.