Rafales de contestation
Le Minju, premier parti d’opposition, a lancé une procédure de destitution à son encontre, procédure qui doit être soumise à l’Assemblée avant le 9 décembre. Côté justice, le parquet sud-coréen a décidé d’enquêter sur Park Geun-hye pour complicité de corruption : “Nous estimons que la présidente a joué un rôle de ‘collusion’ dans une partie considérable des activités criminelles impliquant sa conseillère.”
Pendant ce temps-là, des manifestations monstres continuent de s’organiser pour demander la tête de la présidente et sa côte de popularité, déjà pas au top, a chuté à 4 %. Pas sûr que le Viagra l’aide à la relever…
Publicité