On n’avait pas vu Brad Pitt au cinéma depuis… un caméo dans Deadpool 2 en 2018, War Machine pour Netflix en 2017 et Alliés de Robert Zemeckis, aux côtés de Marion Cotillard. Moins investi dans sa carrière d’acteur que dans celle de producteur, il est cette année revenu sur le devant de la scène avec Once Upon a Time… in Hollywood et Ad Astra.
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Avec ces deux prestations majeures, celle d’un cascadeur de classe moyenne chez Quentin Tarantino, et celle d’un astronaute solitaire chez James Gray, la vedette hollywoodienne pourrait aussi bien décrocher l’Oscar du Meilleur second rôle que l’Oscar du Meilleur acteur.
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Pourtant, le comédien derrière Plan B Entertainment ne prépare pas “son grand retour”. Hasard du calendrier ? Peut-être. Brad Pitt a expliqué au New York Times qu’il ne comptait pas accepter d’autres rôles pour le moment, étant “intéressé par d’autres choses” bien différentes, comme la sculpture et l’aménagement paysager.
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“Je suis curieux de voir si le cinéma va persister, si les films vont rester. Quand tu sens que tu as finalement réussi à embrasser quelque chose, il est temps de se tourner vers quelque chose d’autre.”
Si l’acteur va se détourner du cinéma, l’avenir de sa société de production Plan B ne devrait pas être mis en péril, surtout après avoir porté des projets comme Troie, Charlie et la chocolaterie, Les Infiltrés, Moonlight, Vice ou encore The OA, et décroché de nombreuses statuettes dorées.
Si ses fans reprenaient espoir devant ses deux projets qui sortent à quelques mois d’intervalle, qu’ils se rassurent : dans les colonnes du New York Times, il ne semble pas non plus s’interdire un retour devant la caméra. S’il se fait plus discret pour revenir en frappant fort, why not. Donc non, ce ne sera pas la dernière fois que vous verrez Brad Pitt à l’écran dans Ad Astra le 18 septembre.
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