À la différence du célèbre blogueur new-yorkais, ce ne sont pas des photos de mode mais des instantanés de tatouages divers et variés que l’on découvre sur son espace.
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Quasi-absence de mots, les clichés suffisent à exprimer la poésie des motifs et la personnalité des modèles pris sur le vif dans toute leur spontanéité.
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Nicolas a roulé sa bosse avant d’ouvrir The Tattoorialist : durant trois ans, il a shooté les mannequins durant les fashion-weeks parisiennes avant de se consacrer à son autre passion, le tattoo, qu’il immortalise pour le bonheur des afficionados ou simplement des amateurs de belles choses.