Kevin Martin a connu beaucoup de pseudonymes dans sa longue carrière. Et autant de styles auxquels il a touché. Jazzcore pour GOD, plutôt ambient quand on l’appelait Techno Animal, c’est à la dub sous toutes ses hybridations qu’il s’intéresse avec The Bug. Un style que l’on pensait reléguer à la constante commémoration d’un glorieux passé. Jusqu’à ce qu’on lui injecte quelque chose de plus.
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The Bug : une instru’, deux chansons
Parfois dancehall (comme sur le titre “Hardcore Lover” en featuring avec la lady “from Kingstown Jamaica” Warrior Queen), d’autres fois expérimental au possible (on pense ici à son premier album Tapping The Conversation), les productions de The Bug n’en oublie pas le glorieux passé “hip-hop” de la Grande-Bretagne. Comme sur son dernier titre “Dirty”, à retrouver sur son prochain EP Filthy. GRIME WILL NEVER DIE.
Et comme un clin d’oeil aux traditions, c’est le même “riddim” (essayez instru’) que sur “Freakshow” (featuring Danny Brown) que Kevin Martin utilise sur “Dirty”. Certes deux trois trucs changent mais pas plus. Et le plus important, la voix.
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