“En tant que navigateurs, on est les premiers témoins de la dégradation de notre environnement.”
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“C’est difficile de voir beaucoup de déchets flotter entre deux eaux” : le navigateur français Armel Le Cléac’h nous parle de la pollution des mers, dont il est témoin en première ligne. “Moi, je ne suis pas pessimiste”, précise le jeune homme, qui pense qu’on a “encore le temps de faire plein de belles choses et d’améliorer” nos comportements pour enrayer le dérèglement climatique.
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