Ce rapport plutôt alarmant met ainsi en lumière les disparités criantes face à la qualité de l’air, entre pays riches et pauvres, et les incidences sur la santé et le taux de mortalité.
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“La pollution de l’air est le principal facteur de maladies et de décès […] Quand un air pollué couvre nos villes, les populations urbaines les plus vulnérables – les plus jeunes, les plus vieux et les plus pauvres – sont les plus touchées”, explique le Dr Flavia Bustreo, sous-directrice générale en charge de la santé de la famille, de la femme et de l’enfant à l’OMS.
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Quand la qualité de l’air décline, le risque d’accident vasculaire cérébral, de maladie cardio-vasculaire, de cancer du poumon ou de maladie respiratoire chronique aiguë comme l’asthme, augmente de façon significative chez les populations exposées. L’inhalation de particules fines est un risque majeur pour la santé et serait à l’origine, selon l’OMS, de trois millions de décès prématurés dans le monde chaque année.