“D’autres pays reconnaîtront Jérusalem et annonceront le transfert de leur ambassade […]. Je le répète : il y en aura d’autres, ce n’est qu’un début et c’est important. […]
La déclaration de Trump va enclencher un courant dont nous n’avons pour le moment vu que les prémisses.”
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Même son de cloche du côté de Tzipi Hotovely, la vice-ministre israélienne des Affaires étrangères, qui a assuré que son pays était en relation avec “au moins dix pays dont certains en Europe”, lesquels seraient donc prêts à déplacer leur ambassade à Jérusalem. La radio publique, reprise par Le Figaro, évoque le Honduras, les Philippines, la Roumanie ou encore le Soudan du Sud.
À l’inverse, estimant que “le président Morales a entraîné son pays du mauvais côté de l’histoire“, la Palestine a réagi par le biais de son ministre des Affaires étrangères, Riyad al-Maliki, en qualifiant la décision du Guatemala d’“acte honteux et illégal qui va totalement à l’encontre des sentiments des dirigeants des églises à Jérusalem”.
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