Cinq heures de retard et pas une bière au frigo…
Les journalistes du Parisien n’ont pas été surpris de se faire accueillir par le chanteur de Babyshambles avec… cinq heures de retard. Selon eux, règne chez Pete Doherty “un capharnaüm indescriptible” dans lequel l’âme damnée des Libertines déclare, une fois entré : “Je n’ai plus rien, allons chercher à boire.” On peut légitimement se poser la question : était-ce Pete Doherty qui parle lorsqu’il évoque une demande de nationalité ou bien les substances psychotropes qu’il est bien connu pour ingurgiter régulièrement ?
Puis il s’épanche un peu plus sur le nouveau Babyshambles (dont on vous révélait l’artwork hier) : “On a tout fait pour retrouver l’énergie, la foi et pour que ce disque marche. Pour la première fois, on a tout réalisé hors d’Angleterre, les démos dans cet appartement, l’enregistrement dans un studio parisien. Pendant que je joue dans des festivals en solo, cet été, le groupe répète dur pour la tournée de rentrée.”
Sequel to the Prequel sort le 2 septembre et un premier extrait a déjà été dévoilé :
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Babyshambles – “Nothing Comes to Nothing”
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