Ne cherchez plus l’âme sœur, ce fauteuil va assouvir votre besoin de câlins

Le “Fauteuil à câlins gratuits” promet d’ajouter de la chaleur et de la douceur à vos soirées solitaires. Si vous avez déjà du mal à décoller de votre canapé, il est fortement déconseillé… 

Être célibataire a ses avantages et ses inconvénients. C’est cool d’être libre et de faire la fête quand on veut. Mais les sessions Netflix ne sont pas aussi savoureuses quand on n’a personne contre qui se blottir.

La semaine a été longue, et tout ce dont vous avez envie, c’est rentrer chez vous, et vous lover contre quelqu’un de chaud et confortable. Mais la seule personne à qui vous pouvez faire des câlins, c’est votre coloc, et peut-être que vous n’avez pas envie de faire des câlins à votre coloc, parce que c’est un peu bizarre. Dans ces cas-là, le célibat peut vous donner l’impression que vous ratez quelque chose.

Heureusement, il existe désormais un fauteuil qui va assouvir votre besoin d’amour même lors des soirées les plus solitaires. Eh oui, grâce à la designer Eun Kyoung Lee, ces journées sans câlins sont révolues.

Son invention s’appelle le “Fauteuil à câlins gratuits” et, oui, comme son nom l’indique, ce fauteuil vous fait des câlins. Eun Kyoung Lee a imaginé ce meuble pour les A’Design Awards et selon elle, “il va vous apporter de la chaleur et de la douceur comme une mère, un ami, un amoureux.”

Il sera là pour vous, même dans les périodes les plus difficiles. Une mauvaise journée au travail ? Le Fauteuil à câlins gratuits va vous consoler. Vos amis vous déçoivent ? Préparez-vous à recevoir plus d’amour de la part d’un meuble ! Vous vous sentez mal ? Lovez-vous dans les bras du Fauteuil à câlins gratuits et tous vos problèmes s’évaporeront. En gros, vous pouvez avoir ce sentiment de bien-être sans vous engager dans une relation sentimentale. Tout le monde gagne ! Bon, il faut reconnaître que ce canapé a l’air tellement confortable qu’il en est terrifiant.

Malheureusement, il n’a pas encore été mis en vente, mais on reste aux aguets.

Traduit de l’anglais par Hélaine Lefrançois