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Ces dernières années, la mode était à la désaturation des couleurs sur les films post-apocalyptiques. Moi, je ne voyais que deux options : soit faire un film en noir et blanc – à mes yeux, la meilleure version du film est celle en noir et blanc, mais hélas, les gens associent trop souvent ce procédé aux films d’art et essai – soit pousser les couleurs à fond.
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