Malgré des personnalités antinomiques, pour la fan-de-Shy’m -assumée, comme pour le beau-gosse-un-peu-DJ-qui-dort-souvent-en-classe, c’est ok. Le prof, quant à lui, s’extasie devant la pochette dans un « prenez-en de la graine, bizuts » lourd de sous-entendus.
À la troisième chanson, “Step”, une nana quitte la salle en larmes, épaulée par sa voisine attentive. True story. On ne peut certes pas établir de lien direct entre ses sanglots et la bande sonore, mais quand même.
Il est vrai que le “Top 3” de mes pensées pendant cette première écoute était :
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- « ma vie sentimentale craint/n’existe pas »;
- « un orage en mi-mai, sérieusement ? »;
- « je mangerais bien sucré/gras/au chocolat ».
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