Un monde, nous le disions, ultra-connecté dans lequel les Google Glasses scanneraient et reconnaîtraient des provisions dans un supermarché. De trouver le prix le moins cher pour un produit. De monter dans le taxi le plus proche. De vous donner le résultat de compétitions sportives. Oui, en direct. De vous apprendre à jouer de la guitare et même de sauver votre père qui vient de faire un malaise.
Bref, des idées en plus à soumettre à la firme de Mountain View qui, soyons-en certain, s’attèlera à les développer une fois sa domination du monde achevée. De la science-fiction ? Personne ne portera ces lunettes ? Playground en fait trop ? Peut-être. N’empêche que cette histoire de lunettes connectées rappelle les moqueries subies par les premiers propriétaires de téléphones portables.
Dans les années 90. Hier, quoi.
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