“La réaction à court terme a été incroyablement efficace, bien plus que tout ce que nous avions tenté jusque là à travers les campagnes d’information”, a déclaré Andrew Cameron, professeur de chirurgie à l’Université John Hopkins. Selon lui, c’est clair : ce boom est imputable à Facebook.
Aujourd’hui, c’est encore deux fois plus de donneurs qu’avant mai 2012 qu’enregistrent chaque jour les listes américaines. “Ces dernières années, les réseaux sociaux ont montré qu’ils n’étaient pas seulement des espaces destinés à partager ce que vous avez mangé ou à poster des images de chats mignons (…) Ils peuvent être des moteurs de changement social”, a ajouté Andrew Cameron.
En France, la page Facebook “Don d’organes : je le dis” est l’espace d’échange, d’information et d’aide à propos du don d’organes. À votre bon coeur : après tout, un petit “like” ne vous engage pas à donner votre foie.
Source : Huffington Post
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