Une étude canadienne, publiée dans la revue scientifique The Journal of Sexual Medicine, s’est penchée sur les fantasmes des hommes et des femmes.
Célibataire ou en couple, tout le monde garde plus ou moins enfoui dans un coin de sa tête un ou plusieurs fantasmes sexuels. Qu’ils soient réalisables, pervers, romantiques ou honteux, l’étude réalisée par l’Université de Montréal révèle quels sont les fantasmes dits “anormaux”, “inhabituels” et “typiques” et s’attarde sur les différences hommes/femmes. Christian Joyal, auteur principal de l’étude, explique ce qui les a poussés à la réaliser :
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Cliniquement, on sait bien ce qu’est un fantasme sexuel pathologique : il peut impliquer des partenaires non consentants, induire une souffrance ou encore être absolument nécessaire pour obtenir satisfaction. Mais à part cela, qu’est-ce qu’un fantasme anormal ou atypique au juste ? Pour le savoir, nous avons questionné plusieurs personnes.
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