Donald Trump est le candidat républicain à la présidence des États-Unis

Publié le par Louis Lepron,

A voir aussi sur Konbini

C’est (presque) officiel. Ce jeudi 26 mai, Donald Trump a franchi l’ultime cap dans le cadre de la campagne à l’investiture républicaine pour la présidence des États-Unis. Comment ? En réunissant une majorité de délégués qui sont requis pour l’investiture présidentielle, soit 1 238, selon un récent décompte de l’agence de presse américaine Associated Press.

Publicité

C’est en cela que l’officialisation de Donald Trump est presque officielle : le décompte n’est pas réalisé et centralisé par le Parti républicain, mais estimé par des médias américains dont les chiffres peuvent différer selon les volontés des délégués qui sont libres de voter pour le candidat qu’ils veulent, indépendamment des résultats des primaires.

Publicité

1 238, c’est donc le nombre minimum (1 237 étant la majorité requise) acquis par Donald Trump, après qu’Associated Press a interrogé des délégués “libres”, notamment dans l’État de l’Oklahoma. La barre allait, comme le souligne les médias américains, être franchie lors des dernières primaires sans enjeu qui auront lieu le 7 juin prochain, avec la participation de la Californie ainsi que de quatre autres États.

Sans compter que ses rivaux, Ted Cruz et John Kasich, ont jeté l’éponge il y a trois semaines, après une primaire victorieuse pour le candidat républicain dans l’Indiana.  Et ce jeudi 26 mai, l’État de Washington enfonçait le clou offrant une victoire écrasante à Donald Trump, avec près de 76,6% des voix.

Publicité

Prochaine étape pour la présidentielle américaine du côté des républicains ? L’intronisation officielle de Donald Trump, probablement lors de la convention du parti à Cleveland, dans la seconde moitié de juillet. Côté démocrate, les yeux sont tournés vers les dernières primaires organisées elles aussi le 7 juin prochain.