Il y a deux jours, le quotidien Le Monde faisait part d’une étonnante activité dans les rues de New York : le samedi 19 octobre, des vigiles ont protégé des oeuvres de Banksy. L’idée : éviter les vols, dégradations ou toute autre malveillance à l’égard des oeuvres du street-artist.
Le crédo des hommes en uniforme ?
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Vous avez cinq minutes. Il est interdit de manger, de boire ou de toucher les œuvres.
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Cette actualité est partie prenante d’une effervescence rarement vue autour du travail d’un street-artist. Il y a deux semaines, Banksy avait même installé un petit stand qui vendait des répliques de ses graffitis sur des petits tableaux pour des sommes allant de 60 à 80 dollars.